11 mai 2010

2010, L'Odyssée de l'espace

Une odyssée inspirée par L'Odyssée d'Homère et 2001, l'Odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, par la 6ème 4 Sorel !

Chapitre 1. Le départ d’Ulysse après la guerre de Troie, par Sofiane


Après la guerre de Troie, Ulysse rentra vers Ithaque, son royaume sur la planète Terre. Mais son voyage de retour fut émaillé de multiples aventures.

Pendant la guerre de Troie, Ulysse avait inventé le cheval de Troie mais malheureusement un Troyen, le père de Bleylock, le lui avait volé lors de la grande guerre de Troie, pour détruire la planète Saturne. Le père de Bleylock voulait vaincre Saturne et gagner la grande guerre pour être le plus grand guerrier de Troie et revenir victorieux. Le père de Bleylock rentra dans le château de ses adversaires saturniens mais dans le château devant la porte se trouvait un fossé, alors le cheval de Troie et le père de Bleylock tombèrent dans le fossé.
Bleylock vit son père mourir à l’entrée du château. Depuis ce jour là il voulait venger son père des Saturniens. Une grande guerre se déroulait donc dans l’archipel des Xénons : Bleylock le Troyen contre les Saturiens.

Ulysse, à peine parti dans son voyage avec ses compagnons, prit son vaisseau spatial et alla vers l’archipel des Xénons, dans l’anneau de Saturne. Ulysse et ses compagnons avaient une nouvelle mission : sauver Saturne, la planète de leurs alliés. Ulysse voulait à tout prix protéger la planète Saturne.

Le royaume de Saturne était en danger parce que Bleylock tenait la promesse de venger son père. Alors Ulysse partit vers la planète des Xénons pour sauver l’archipel. Arrivé sur la planète il rechercha Bleylock. Ulysse rechercha dans tout l’archipel, il le retrouva dans un coin en plein milieu de forêt en train de faire le chemin pour aller dans son laboratoire, mais Bleylock lui échappa.

Le lendemain Ulysse et ses compagnons se dispersèrent pour mieux voir dans l’archipel et Ulysse donna un détecteur de chaleur à tous ses compagnons. Un de ses compagnons trouva Bleylock avec le détecteur de chaleur. Le compagnon d’Ulysse le trouva dans une salle cachée au fin fond des égouts où les rats les plus dangereux vivaient. Le compagnon d’Ulysse appela immédiatement Ulysse pour qu’il vienne avec les autres compagnons. Arrivé aux égouts Ulysse essaya de rentrer discrètement dans la cachette où se trouvait un laboratoire. Il réussit à rentrer dans le labo. Ulysse plongea sur Bleylock et ils tombèrent tous les deux et un combat fit rage. Mais Bleylock lui mit un coup de poing et s’échappa. Un des compagnons d’Ulysse le suivit tandis qu’Ulysse avait du mal à se relever.

Bleylock monta dans son vaisseau mais le compagnon d’Ulysse arriva trop tard et Bleylock partit en dehors de l’archipel dans l’espace. Les compagnons d’Ulysse se mirent en route pour suivre Bleylock et l’empêcher de détruire l’archipel des Xénons. Le vaisseau des compagnons d’Ulysse était juste à coté du vaisseau de Bleylock. Ils essayèrent de tirer un missile sur le vaisseau d’Ulysse. Ils tirèrent mais ils ne touchèrent pas la cible. Alors Bleylock lança la sphère remplie de Fluide dans l’archipel Xénons. Le Fluide était une bombe terrible. Rien ne pouvait plus l’arrêter, sauf si quelqu’un rentrait dans le vaisseau et lançait le processus d’autodestruction du Fluide.

Ulysse prit sa moto spatiale et alla rejoindre le vaisseau de Bleylock mais malgré ça la bombe n’était plus qu’à un kilomètre de l’archipel. Ulysse mit la puissance maximale pour aller plus vite que la lumière, et rejoignit Bleylock. Il rentra dans son vaisseau et Bleylock tenta de protéger le processus.

Ulysse avait une arme, la plus puissante de toutes après la sphère de Fluide, elle s’appellait le M32. Ulysse tira sur Bleylock avec son arme mais malheureusement personne ne pouvait en réchapper. Ulysse tira : il n’avait pas le choix. Bleylock n’y survécut pas. Ulysse fonça directement sur le bouton d’autodestruction du Fluide. Il appuya et le Fluide explosa.

Ulysse et ses compagnons étaient fous de joie et les habitants de l’archipel étaient les plus contents. Rien ni personne ne pouvait être aussi content qu’eux. Ulysse avec joie prononça « Adieu Bleylock » et les compagnons d’Ulysse étaient vraiment heureux. Le roi de l’archipel récompensa Ulysse et ses compagnons : ils seraient toujours les bienvenus dans l’archipel.

Chapitre 2. Le pillage des Neptuniens, par Brahim

Après sa victoire dans l’archipel des Xénons, Ulysse et ses compagnons rentrèrent vers leur planète en vaisseau spatial. Comme ils étaient fatigués, ils emportèrent chacun une batterie pour se recharger. Mais Ulysse, peu satisfait de la sienne, mit le cap au nord en direction de Neptune avec l’intention de piller une partie de cette planète alliée des Troyens, les Neptuniens.

Dans l’espace ils virent la planète Uranus, ils eurent vraiment peur car ils avaient vu des Uranusiens dans un vaisseau spatial : ils étaient oranges avec la peau gluante et de gros yeux avec la cervelle qui dégoulinait de sang. Ulysse et ses compagnons réussirent à leur échapper.

Peu de temps après, ils virent la planète Neptune et se posèrent sur la partie qu’ils voulaient piller. Ulysse et son meilleur compagnon qui se nommait James commencèrent par tuer quelques Neptuniens mais ensuite la moitié de ses compagnons furent tués. Ulysse et James s’énervèrent et tuèrent tous les Neptuniens.

Le moment le plus dur arriva, ils tombèrent face au géant Neptunien, le chef de cette partie de planète. James le courageux commença par le ligoter ensuite Ulysse sans pitié le planta avec son gros sabre du dragon et le géant Neptunien ne résista pas et mourut. Ulysse et ses compagnons furent heureux et réussirent à piller cette partie de planète.

Ils repartirent dans l’espace. Ils ripaillaient tranquillement dans l’espace quand des robots Troyens qui avaient trompé Ulysse les mirent en déroute. Ces robots mesuraient huit mètres et tenaient chacun une arme. Mais Ulysse et ses compagnons ne se laissèrent pas faire et s’enfuirent avec leur voiture volante qui avait des turbos qui flambaient.

Chapitre 3. Le lavage de cerveau chez les Planctons géants, par Bethanie


Trois jours après avoir échoué dans un endroit inconnu, les hommes se réveillèrent enfin. Ils s’aventurèrent dans des endroits très beaux. Ils rencontrèrent du plancton de la même taille qu’eux, c’est-à-dire du plancton géant, car normalement il ne se voit même pas.

Ils partirent à la recherche de nourriture et de quoi se laver. Mais pour manger il fallait traverser cette plage abandonnée, et continuer jusqu’à la ville voisine où il y avait des commerces. Après avoir traversé et marché trente longues minutes, ils trouvèrent une petite supérette. Ils prirent leurs achats et ils se dirigèrent vers la caisse électronique pour payer, mais dans cette ville, il fallait avoir un certificat d’habitat pour acheter quoi que ce soit, car il fallait que tous les gens qui rentraient dans cette ville soient gentils, calmes et que dans leur tête, tout soit posé et les problèmes laissés sur le côté.

Ils voulurent faire les papiers, mais pour ça ils devaient se rendre dans un ulissata (un genre de préfecture). Pour avoir ces fameux papiers, il fallait faire des tests psychologiques. Ils décidèrent de faire ces tests car leur faim les commandait. Ce n’était pas vraiment des tests mais des lavages de cerveau qui faisaient revenir tout ce que nous avions vécu depuis la naissance. Cela créait un choc brutal nous faisant perdre la tête. On ne pouvait plus rien connaître ni rien savoir.

Mais Ulysse était très rusé. Il inventa un vidéoprojecteur qui évidemment se projeter avec ses compagnons et créer une nouvelle image d’eux-mêmes. Il suffisait de prendre une image d’eux allongés avec un casque et cela créait un faux corps. Comme ça, ils purent avoir les papiers sans avoir ces lavages de cerveau, c’est-à-dire qu’ils n’eurent rien, ni choc brutal, ni rien de tout ce qui était prévu. Après toutes ces étapes passées, ils prirent leur vaisseau spatial et se rendirent sur la planète Vénus.

Chapitre 4. Le combat contre le cyclope, par Leïla


Alors qu’Ulysse et ses compagnons voyageaient dans leur vaisseau spatial, ils découvrirent une planète qui s’appelait Vénus. Sur cette planète, il faisait très sombre, il n’y avait pas trop de végétation, pas trop d’habitation, mais il y avait une petite maison en plein air, sur les nuages.

Ulysse et ses compagnons étaient surpris de voir une habitation aérienne. Ils voulurent la voir d’un peu plus près, donc ils dirigèrent leur vaisseau spatial vers cette maison. Ils descendirent sur les marches du vaisseau, puis placèrent l’échelle qu’ils avaient pensé à prendre contre la maison et montèrent. Ils virent une petite porte. Ils toquèrent, mais personne ne répondit. Donc ils décidèrent d’entrer dans cette maison. A peine étaient-ils entrés qu’ils aperçurent un homme de dos, assis sur une chaise. Ulysse et ses compagnons dirent bonjour, mais l’homme ne répondit pas. Il se retourna et Ulysse dit :
« C’est un cyclope car il n’a qu’un œil. »
Le cyclope les attendait. Il dit :
« Entrez. Soyez les bienvenus. »

Le cyclope fit le gentil pour qu’Ulysse et ses compagnons ne se méfient de rien et qu’ils ne comprennent pas qu’il voulait leur faire du mal. Ils se mirent à table, car Ulysse et ses compagnons mouraient de faim. Le cyclope dévora deux des compagnons d’Ulysse au cours du repas. Ulysse dit :
« Mais ce cyclope veut nous faire du mal. »
Un des compagnons d’Ulysse dit :
« Allons-nous en avant qu’il ne nous mange nous. »
Ulysse dit :
« Non. D’abord, il faut qu’on se venge de ce cyclope. On va lui crever l’œil. »

Ulysse et ses compagnons préparèrent leur plan. Ulysse donna du vin au cyclope. Le cyclope devint un peu saoul. Ulysse lui donna encore et encore des verres de vin pour que le géant devienne bien saoul et tombe par terre. Le cyclope tomba par terre car il avait trop bu. Ulysse et ses compagnons prirent un pieu pour crever l’œil du cyclope et le plantèrent dans l’œil du cyclope. Puis ils s’enfuirent pour que le cyclope ne les retrouve pas.

Chapitre 5. L’errance dans l’espace, par Jamal

Le dieu Poséidon leva une tempête de météorites car Ulysse avait tué son fils le cyclope. Le vaisseau se fit toucher par des météorites car Ulysse et ses compagnons n’avaient pas pu les esquiver. La tempête les bouscula et les propulsa dans une autre galaxie inconnue où il y avait un monde totalement nouveau pour les voyageurs. Ulysse s’évanouit car il s’était pris une grosse valise remplie de munitions sur la tête.

Quelques heures plus tard, Ulysse se réveilla et alla voir si ses compagnons allaient bien. Il regarda et vit tous ses compagnons évanouis. En regardant ses cartes de navigation spatiale, il se rendit compte qu’il ne savait pas du tout où ils étaient dans l’espace. Ils étaient perdus !

Chapitre 6. Chez Éole, le maître des vents de l’espace, par Viruna

Après s’être échappé de la planète des Cyclopes, Ulysse tomba dans la constellation de Cassiopée qui était la maison d’Éole, le maître des vents de l’espace. La constellation de Cassiopée était proche de la constellation des Cygnes où vivaient les cygnes d’Éole et dans cette constellation le dieu pouvait leur donner le vent et leur permettre de retrouver la Terre.

Ulysse demanda à Éole :
« Comment suis-je arrivé jusqu’ici ? »
Eole lui répondit :
« Ton vaisseau est tombé après avoir été endommagé par une tempête de météorites et tu arrivé sur ma constellation. »

Le lendemain Ulysse et ses compagnons commencèrent à réparer leur vaisseau mais cela fut plus difficile qu’ils ne le croyaient. Ils restèrent un mois chez Éole et pour montrer l’amitié qu’il leur portait, Éole leur offrit des étoiles filantes et des comètes pour aider leur retour sur Terre. Ulysse le remercia.

Mais le soir venu les compagnons d’Ulysse virent un coffre chez Éole et le volèrent, croyant que c’était le coffre des vents de l’espace. En punition de ce vol, les dieux condamnèrent Ulysse à un malheur : il ne pourrait pas revenir sur Terre si facilement ! C’est là qu’Éole sut qu’Ulysse était poursuivi par la colère des dieux.

Chapitre 7. Le combat contre les Lestrygons, par Fahran

Ulysse et ses compagnons naviguaient depuis plusieurs jours sur une mer numérique. Si l’on tombait dedans, on se désintégrait. Heureusement, Ulysse et ses compagnons avaient un vaisseau indestructible.

Ils aperçurent enfin la côte d’une planète nommé Lyoko. Elle ressemblait à une sphère qui bougeait à chaque montée de la mer, et ses habitants étaient plutôt joyeux et accueillants. Ulysse envoya deux de ses hommes comme éclaireurs. Ils partirent rencontrer le chef du village, mais ils ne trouvèrent que la fille du roi. C’était la seule qui était bien habillée : elle portait une cape. Ils lui demandèrent de les conduire à son père pour lui demander l’hospitalité.

Le roi, surpris, leur demanda ce qu’ils faisaient là sur cette planète lointaine. Les compagnons d’Ulysse lui expliquèrent pourquoi ils étaient là. Le roi accepta de les loger, mais il les prévint qu’il y avait des monstres sur la planète : les Lestrygons, des géants anthropophages qui se nourrissaient de sang et de chair humaine. Ils ressemblaient à des cyclopes, sauf qu’ils avaient des verrues partout qui projetaient de l’acide. De plus, ils étaient très agressifs : ils attaquaient tout ce qui bougeait.

Ulysse et ses compagnons, conscients des risques encourus, acceptèrent de dormir sur cette planète. Ils passèrent une soirée et une nuit tranquille, mais le lendemain, les Lestrygons anthropophages attaquèrent le village. Ulysse voulut les combattre mais ils étaient trop forts pour des humaines. Alors Ulysse rusa et entraîna les Lestrygons dans la mer et les noya.

Les habitants étaient heureux et remercièrent Ulysse pour cette magnifique ruse. Puis Ulysse et ses compagnons repartirent de cette planète.

Chapitre 8. Prisonniers de la magicienne Circé, par Esther et Sullivan


Ulysse sur son vaisseau spatial aperçut dans l’espace la constellation du Sagittaire. Il demanda à Eurylochos, le plus petit de ses compagnons, qui habitait là. Eurylochos répondit :
« C’est la magicienne Circé qui habite là. »
Ulysse voyant qu’il se faisait tard dit à un de ses compagnons qu’ils s’arrêteraient ce soir sur cette constellation.

Quand ils arrivèrent dans la constellation, Ulysse aperçut une femme d’une beauté inimaginable qui était grande, assez mince, qui avait des ailes d’une noirceur particulière. Ulysse la vit et lui demanda :
« Bonjour madame, nous sommes des voyageurs très épuisés et je voudrais savoir si vous pouvez nous héberger. »
Circé accepta avec plaisir. Ulysse la remercia d’avoir accepté de l’héberger lui et ses compagnons. Circé lui dit :
« Suivez-moi, je vous amène chez moi sur le mont Circéo. »

La femme leur demanda de la suivre dans sa maison pour manger ou boire quelque chose. Ulysse n’avait pas très soif, mais ses compagnons n’étaient pas du même avis. Circé leur servit du vin et du poulet. Mais dans leur dot, elle leur mit de la potion magique dans le vin et elle prononça la formule magique :
« Abracadabra ! Que ces hommes se transforment en esclaves ! Et voilà, les compagnons d’Ulysse sont mes esclaves ! »
Et la magicienne d’un rire maléfique s’envola avec les hommes.

Ulysse se demanda où étaient passés ses compagnons. Il se rendit compte qu’un de ses compagnons avait évité le piège. C’était Eurylochos. Ulysse était si content qu’il serra son compagnon dans les bras. Ulysse lui dit de venir avec lui dans la forêt pour aller chercher le reste des hommes qui avaient été enlevés par la magicienne. Circé était cachée derrière des rochers. Ulysse et Eurylochos entrèrent dans la grotte de Circé, et tout à coup ils virent leurs compagnons. Ulysse dit :
« Mes compagnons, vous allez bien ? »
La magicienne Circé dit à Ulysse :
« Pas besoin de les appeler : ils ne viendront pas avec toi, ils sont mes prisonniers ! »
Ulysse dit à Circé :
« S’il vous plait, Circé, retransformez mes compagnons en humains et je resterai lié à vous pendant un an. »
La magicienne répondit :
« D’accord, mais d’abord, tu devras remporter une épreuve. »

Ulysse avait une idée : il proposa à la magicienne un combat de gladiateurs dans l’arène de la constellation et il dit que celui qui gagnerait aurait les compagnons. Le lendemain, Ulysse et son gladiateur se mirent dans l’arène et attendirent la magicienne. Tout à coup, l’autre gladiateur se trouva devant Ulysse et la magicienne dit :
« A l’attaque ! »
Ulysse dit à son compagnon de rester calme, mais celui-ci se mit à crier. Ulysse réfléchit, et il trouva une idée. Il dit :
« A l’attaque ! Coupe-lui les cheveux. Sa force est dans ses cheveux ! »
Une fois qu’il eut les cheveux coupés, le gladiateur perdit toute sa force et la magicienne rendit les compagnons à Ulysse, avec le livre des magies pour rompre le sort. Ulysse dit :
« Abracadabra ! Que le sort quitte les hommes ! »

Comme il l’avait promis, Ulysse resta auprès de Circé pendant un an avant de reprendre son voyage.

Chapitre 9. Ulysse aux Enfers, par Souhaila


Ulysse voulait partir de chez Circé pour pouvoir continuer son chemin et pour aller voir son fils Télémaque. Circé accepta mais avant de le laisser partir, elle insista pour lui révéler la mort de son fils. Pour remercier Ulysse, Circé lui donna l’avantage de sauver son fils. Ulysse accepta et partit avec les instructions que lui donna Circé.

Ulysse voulait parler à son fils Télémaque. Celui-ci était enfermé dans le bâtiment des morts emprisonnés. Mais pour cela il fallait qu’il parte en vaisseau jusqu’à l’île flottante. Cette île se trouvait sur une étoile. Cette étoile se nommait le Cancer. Donc il partit en vaisseau jusqu’à l’île flottante où se trouvait le bâtiment des morts.

Une fois arrivé dans le bâtiment des morts, Ulysse vit comment était le bâtiment. C’était un endroit monstrueux : tout était décoré de noir. Il y avait des tâches noires, des escaliers noirs, plusieurs portes noires. Malgré toute cette noirceur, Ulysse commença à monter au premier étage, il vit sa mère qui lui dit :
« Ulysse mon fils, tu as le droit de sauver une personne dans le bâtiment des morts. Sauve-moi, mon fils ! Tu m’as tellement manqué ! Oublie ton fils ! »
A ce moment-là, Ulysse se rendit compte qu’il allait devoir parcourir plusieurs étapes avant de revoir son fils. Ulysse avec tant de souffrance répondit à sa mère : « Désolé, mais je suis venu pour sauver mon fils Télémaque, qui se trouve être aussi ton petit-fils. » Ulysse, l’air déprimé, continua son chemin.

Au second étage, il trouva son meilleur ami avec qui il avait vécu la guerre de Troie. Son ami lui dit :
« Mon cher ami Ulysse, te souviens-tu de nos années passées ensemble ? Nous nous amusions bien. »
Ulysse lui dit :
« Désolé mon cher mai, mais je suis venu pour sauver mon fils Télémaque. »
Donc Ulysse continua son chemin.

Au troisième étage, il vit son père qui lui dit :
« Mon cher fils, sauve-moi ! J’ai tant envie de revoir ta mère ! »
Ulysse lui répondit :
« Désolé, mais je suis venu pour mon fils Télémaque. Et de plus ma mère est morte. »
Le père d’Ulysse lui répondit :
« Ce n’est pas pour te vexer, mais sans ta mère, je n’ai plus de raison de vivre. Alors mon fils, va sauver ton fils Télémaque. »

Puis Ulysse monta jusqu’au quatrième étage où il vit Hadès, le dieu de la mort, qui lui dit : « Ah ! Que vois-je là ? Notre cher Ulysse qui veut sauver son fils Télémaque. Et bien je te l’accorde, car tu as su affronter les épreuves et éviter les pièges : ta mère, ton père et ton ami. devaient tenter de te faire renoncer à sauver ton fils Télémaque, mais tu as résisté ! Tu n’as qu’à monter pour le retrouver. »

Ulysse continua son chemin. Au dernier étage, il vit son fils Télémaque, et tous deux descendirent et sortirent du bâtiment des morts. Télémaque repartit sur Ithaque sur un vaisseau d’Hadès. Mais Ulysse dut continuer son voyage dans l’espace, car il était puni par le dieu Poséidon pour avoir tué le cyclope.

Chapitre 10. L’épreuve des Sirènes, par Myriam

Ulysse était dans l’espace dans la constellation de la Lyre et il décida de descendre sur la planète des sirènes. La planète était ronde comme Saturne. Dessus, il y avait des sirènes robots qui avaient de gros yeux globuleux avec de grands bras et de grandes jambes. Ulysse était sur une planète aquatique avec ses compagnons qui l’accompagnaient.

Les sirènes robots se mirent à crier pour rendre sourds Ulysse et ses compagnons. Mais Ulysse voulait quand même aller sur la planète même si les cris des sirènes étaient dangereux : il leur fallait tuer les sirènes.

Et Ulysse y alla. Il tomba dans leur piège et fut fait prisonnier. Mais les soldats d’Ulysse arrivèrent à le sauver, car ils se bouchèrent tous les oreilles. Puis, comme ils ne faisaient plus attention aux sirènes, une par une, elles moururent car les sirènes robots de l’espace avaient besoin d’attention pour réussir à vivre pendant cent ans !

Les compagnons et Ulysse partirent vers une autre aventure !

Chapitre 11. De Charybde en Scylla, par Sofia

Après avoir repris leur vaisseau spatial, Ulysse et ses compagnons arrivèrent dans une nouvelle constellation où ils découvrirent deux monstres de l’espace : Charybde et Scylla.

Ulysse sortit du vaisseau et laissa ses compagnons. Il prit sa moto volante et survola les deux monstres en les évitant. D’un côté, il y avait Charybde le monstre le plus gluant de l’univers, qui jetait de la glue empoisonnée pour tuer les hommes qui rôdaient autour de la créature, et de l’autre côté, il y avait Scylla. C’était la créature la plus grosse de la galaxie. Tout ce qu’elle voyait, elle l’écrasait sur son passage. Elle était horrible. Elle était plus laide que tout au monde. Ces deux horribles créatures vivaient sur une immense planète qui se prénommait Grogreacrea, qui bloquait le passage dans tout l’espace. Alors, pour passer de l’autre côté, il fallait affronter les deux horribles monstres.

Alors Ulysse arriva, naufragé sur la planète où nichaient les deux monstres. Ulysse descendit de la moto volante et l’air de n’avoir peur de rien, il appela ses compagnons grâce au micro secret accroché à la moto. Soudain, les compagnons d’Ulysse atterrirent et combattirent les monstres. De nombreux compagnons d’Ulysse moururent car les deux monstres firent diversion : c’est-à-dire que Charybde alla combattre les compagnons et laissa Scylla passer derrière elle. Mais Ulysse et la moitié de ses compagnons profitèrent du grand passage entre les deux monstres pour s’échapper.

Ulysse survécut et lui et ses compagnons s’enfuirent dans l’espace, loin de ces monstres très méchants.

Chapitre 12. La colère de Zeus, par Aïmen


Ulysse et les compagnons qui lui restaient étaient dans le vaisseau spatial. Mais ils tombèrent à cours d’essence. Ils aperçurent une planète nommée Combatarmbien, dans la galaxie du Scorpion. La planète était rouge et ses habitants, les Combatarmbiens, n’étaient pas du tout accueillants.

Une fois arrivés sur la planète, Ulysse et ses compagnons virent un temple. Mais il était maudit. Malgré tout, ils rentrèrent dans le temple et Zeus les punit en leur envoyant des zombis assoiffés de sang et de chair humaine. En traversant le temple maudit, Ulysse trouva un laboratoire mais toutes les pièces étaient pleines de sang. Lui et ses compagnons entendirent du bruit. Ulysse dit à cinq de ses hommes :
« Allez voir ce qui se passe ! »
Ils partirent sans discuter, mais se trouvèrent nez à nez avec les zombies qui les tuèrent.

Ulysse et le reste de ses hommes se cachèrent dans une pièce isolée. Des zombies arrivèrent dans la pièce et Ulysse dit :
« Ouvrez le feu ! »
Et tout le monde ouvrit le feu. Ils luttèrent tous ensemble.
Les zombies étaient boiteux avec plein de sang. Leur peau était toute rouge. Ils boitaient et n’avaient pas de cheveux. Ils poussaient des cris horribles :
« Haaaaaaaaaaaaa !!!! »
Tous les compagnons d’Ulysse tirèrent. Ils réussirent à empêcher les zombies d’entrer dans la pièce où ils étaient réfugiés, mais ils étaient coincés, et pour très longtemps !

Comme ils n’avaient rien à manger, ils devaient survivre en mangeant de la chair de zombie bouillie. Et pour tuer les zombies, ils leur arrachaient le cerveau. Mais chaque fois que les zombies attaquaient, ils parvenaient à tuer quelques-uns des compagnons d’Ulysse.

Beaucoup de temps après (trois mois et six jours), il n’y avait plus qu’Ulysse de vivant : tous ses compagnons étaient morts. Il parvint enfin à tuer tous les zombies. C’était le seul survivant ! Les zombies avaient détruit son vaisseau spatial, alors il s’enfuit de cette planète dans un scaphandre à air, avec du sang de zombie comme carburant.

Chapitre 13. Ulysse prisonnier de Calypso, par Anthony


Ulysse dériva neuf jours dans l’espace dans son scaphandre à air. Il était affamé et avait soif. En plus, il n’y avait pas d’air dans l’espace noir et il faisait très froid. Un jour, il s’échoua sur le port cosmique de Calypso City, dans la constellation du Poisson. Il fut recueilli par Calypso, une nymphe qui tomba amoureuse de lui.
« Viens, pauvre homme, dit-elle, je vais t’offrir l’hospitalité.
- Merci gentille nymphe. Comment t’appelles-tu ?
- Je m’appelle Calypso. Je vais t’offrir de l’eau et à manger.
- Merci Calypso.
- De rien, Ulysse. »

Puis ils allèrent chez Calypso qui habitait un loft cosmique avec des meubles qui lévitaient à cause de l’anti-gravité de la planète Calypso City. Il y avait des bibliothèques cosmiques, des livres sur Calypso City, des meubles cosmiques, des casseroles cosmiques lévitant partout.

Calypso lui donna des vivres cosmiques puis ils allèrent faire les courses cosmiques au supermarché cosmique où ils achetèrent des fruits et des légumes cosmiques. Puis Calypso acheta une barquette de lasagnes. Une fois rentrés, ils rangèrent les courses cosmiques en évitant les casseroles volantes. Ils mangèrent le repas puis se couchèrent dans des lits différents. Pendant sept années, ce fut la même chose : prendre le petit déjeuner cosmique, regarder la télé cosmique, manger le repas cosmique à midi pile, regarder la télé cosmique, dîner, se coucher.

Et pendant toutes ces années, Ulysse suppliait Calypso de le laisser rentrer chez lui, mais elle ne voulait rien savoir.

Et un beau jour, Hermès, le messager de Zeus, vint lui dire :
« Tu peux partir. »

Calypso dût l’aider à faire un radeau cosmique qu’elle conçut ainsi : une plaque de métal cosmique, quatre paires de barreaux cosmiques, un mât cosmique, une voile cosmique, un moteur cosmique et un volant cosmique. En partant, Ulysse dit :
« Adieu Calypso ! »

Chapitre 14. Ulysse recueilli par Nausicaa, par Saïd

Ulysse flottait dans l’espace depuis dix-sept jours sur son radeau cosmique quand soudain, il aperçut au loin une planète inconnue. Elle n’était pas sur la carte de navigation que lui avait donnée Calypso. Au moment où Ulysse allait larguer les amarres, Poséidon l’aperçut et souleva une grosse tempête et un vent violent de l’espace. La tempête fracassa le radeau d’Ulysse. Le naufragé gagna avec peine la rive de la planète Derater, dans la constellation des Gémeaux.

La peur allait presque le tuer, mais tout à coup, une princesse qui s’appelait Nausicaa s’approcha de lui. Elle voulut l’aider et lui offrit un vaisseau spatial et une carte de l’espace pour qu’il puisse enfin rentrer chez lui, sur Ithaque !

Chapitre 15. Le retour d’Ulysse à Ithaque, par Shannon

Vingt ans s’étaient écoulés depuis le départ d’Ulysse. Ulysse revint avec un vaisseau spatial offert par Nausicaa sur la planète Terre pour se venger des hommes qui harcelaient sa femme. Ulysse au bout de vingt ans retrouva Pénélope sa femme et Télémaque son fils. Depuis vingt ans, Pénélope et lui ne s’étaient pas vus.

Quand Pénélope vit son mari Ulysse, elle courut vers lui, se jeta dans ses bras et il la serra très fort en pleurant. Elle l’avait attendu pendant vingt ans et avait refusé tous les prétendants. Quand Pénélope et Ulysse se retrouvèrent, ils se remirent ensemble comme avant et furent heureux !

12 mars 2010

Le vaillant chevalier, par Aïmen



Il était une fois un puissant chevalier qui s’appelait Artefact. Il vivait dans un immense château tout seul parce qu’il avait perdu toute sa famille dans un incendie. Il passait souvent son temps à s’entraîner à l’épée pour oublier la perte de ses proches.


Un jour il alla se balader. En chemin il rencontra une femme. Elle lui dit :
« Mon cheval s’est enfui s’il vous plait ramenez moi chez moi. »
Il l’emmena avec lui. Le chevalier ne savait pas que cette femme était une sorcière, très puissante, maléfique. Elle l’emmena chez son mari le sorcier !


Peu de temps après ils arrivèrent chez son mari le sorcier. Son mari lui lança un sort d’amnésie. Il prononça le mot « oubliette », il emmena Artefact dans les immondes cachots. Quand il reprit conscience il se dit :
« Mais où suis-je ? »
Il était aveuglé par une petite lumière, il leva les yeux et il vit un petit trou. Il rongea les chaînes rouillées qui le retenaient, il se détacha et escalada, agrandit le trou et il passa. Il attrapa son cheval et s’enfuit dans le plus profond de la forêt.




En chemin il rencontra une fée qui lui dit :
« Il y a une princesse retenue prisonnière. Vas la chercher et marie toi avec elle, elle sera heureuse de voir un homme dans ton genre. »
Artefact lui dit :
« Je le ferai, soyez sans crainte. »
Elle répondit :
« Tu sauras l’aider grâce à mon fidèle ami mon phénix. »


Il la trouva dans un tas d’or, il l’embrassa et elle se réveilla. Ils partirent debout sur les ailes du phénix, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours.


Le dragon chevalier, par Anthony


Il était une fois un dragon chevalier rouge comme le sang en armure qui aimait galoper dans la forêt car il n’avait pas d’ailes. Chaque fois qu’il avait envie de galoper, c’était un moment de bonheur pour lui. Il adorait ramasser des champignons oranges qui lui donnaient du feu. Cela lui était une passion.


Un jour le roi offrit un milliard de carats à qui tuerait les deux chauves-souris géantes et traverserait la colline de fleurs vivantes toxiques, pour délivrer le royaume.
« La colline de fleurs toxiques est le chemin le plus rapides, mais vous devez partir du château. » dit le roi.


Il partit du château sombre juché sur une falaise grise. Un soir de pleine lune il s’y aventura par curiosité pour y passer la nuit. Une fois dedans, il fut capturé par les deux chauves-souris géantes et il fut mis au cachot poussiéreux et grouillant d’araignées vénéneuses que seul un dragon pouvait manger. Il les mangea et put sortir, pour traverser la colline de fleurs toxiques.

Une fois sorti par la sortie souterraine secrète et invisible, cachée par les araignées, il chevaucha son cheval sur une colline verte foncée avec des fleurs toxiques vivantes qui s’enroulent le long des jambes et il tomba dans le gouffre avec son cheval blanc comme des flocons neiges.

Les chauves-souris vinrent l’attaquer lui et son cheval. Le dragon les tua avec le feu qu’il avait fait avec son ventre. Elles grillèrent et tombèrent au sol. Il les enterra dans une tombe à leur effigie. Les chauves-souris reposèrent en paix dans le gouffre de la vallée de fleurs toxiques. Il était content de les avoir battues.


Après il alla voir le roi et lui dit qu’il avait fait tout ce que le monarque avait demandé et qu’il méritait d’avoir la récompense. D’abord il raconta comment avec son feu il avait battu les chauves-souris géantes puis les araignées, les fleurs toxiques. Enfin le monarque lui donna sa récompense.

La princesse et son prince, par Béthanie



Il était une fois une petite princesse qui, après avoir perdu sa mère, vivait avec son père qui lui était un roi. Mais son pauvre père était tout seul et il s’ennuyait alors il rencontra une belle femme et ses filles et ils se marièrent mais ce qu’il ne savait pas, c’est que ce n’était pas une reine. Elle épousa le roi pour que ses filles deviennent des princesses, pour qu’elle soit elle-même une reine. Mais ce qu’il ne savait pas non plus, c’est que cette belle mère était méchante avec sa fille. Celle-ci était devenue grande et devait normalement être une belle princesse. Mais à cause de la méchante belle-mère elle ne devint pas princesse, mais eut quand même une beauté éclatante, et sa belle-mère s’énerva car elle était plus belle que ses deux fillettes. Elle devint une esclave qui exécutait les ordres que lui donnait sa belle mère. C'est-à-dire elle devint une souillon.


Mais un beau jour ensoleillé on entendit un bruit :
« Toc ! Toc ! Toc ! (C’était le bruit de la porte.)
- Oui, qui est là ?
- C’est le serviteur du roi Dada. Il vous envoie une invitation pour le premier bal de sa fille, ça sera dans son château.
- Bien merci c’est gentil, je serai là-bas à l’aube.
- Bien à plus tard alors. »


Dés l’aube la reine se prépara pour le bal. Mais la reine n’allait pas y aller toute seule : elle fit le plus grand bonheur de sa vie, inviter ses deux filles à leur premier bal. C’est la petite souillon qui devait préparer les deux méchantes sœurettes, qui la traitait comme une esclave.
Une fois les trois filles parties, ce fut au tour de son père de partir pour une réunion.


Elle se retrouva donc toute seule. La souillon devait faire le ménage même si c’était propre alors elle abandonna ; elle alla se promener, et rencontra une petite biche. Elle la caressa.


Malgré ça elle s’ennuyait toujours alors elle appela sa marraine la fée. Elle lui dit :
« S’il te plait, je veux aller au bal mais je ne veux pas qu’on me reconnaisse.
- Ne t’inquiète pas, je vais arranger ça. Bric, bac, divritou et boum ba da boum. »
Et voila que la souillon se transforma en sublime princesse. Elle était heureuse, elle la remercia plus de cent fois et elle partît au bal avec un sublime carrosse.
« Eh, ma petite princesse, j’allais oublier de te dire quelque chose. Quand tu entendras les douze coup de minuit il faudra que tu reviennes de suite à la maison on sinon tu vas redevenir une souillon, tu a bien compris.
- Oui ne t’inquiète pas j’ai compris. »
Et la souillon qui s’était transformée en magnifique princesse partit avec son carrosse.
« Tic ! Tac ! Tic ! Tac ! » fit le bruit du carrosse.


Elle alla au bal avec son sourire le plus beau. Au premier pas qu’elle fît, tout le monde la regarda. Elle n’eut même pas le temps se s’assoir qu’un prince vînt lui demander la danse.


Elle dansa toute la soirée. Elle se régala. Tout le monde la regardait car sa robe faisait plus de deux mètres de long. Les douze coup de minuit sonnèrent et le bal fut terminé. La princesse redevint une souillon et paniqua quand elle vît ses habits mais le prince ne dit rien : pour lui ça lui était égal. Ils s’asssirent sur un banc et discutèrent de tout et de rien et les jours passèrent. La vie passa, ils vécurent ensemble et eurent deux beaux petits jumeaux. Ils s’aimèrent jusqu’à ce que la mort les sépare.

Les trois merveilleux enfants, par Brahim



Il était une fois trois enfants de dix ans qui étaient de merveilleux amis : le Fort, le Technicien et le Nerveux qui avait le pouvoir de se transformer en ogre nerveux. Ils voulaient camper pour la première fois ensemble en dehors de leur ville pour vivre un mois ensemble.

Deux semaines après qu’ils aient cherché un endroit, la nuit ils virent un très grand homme. Il leur dit :
« Venez mes enfants travailler pour moi et vous aurez beaucoup de cadeaux. »


Ils allèrent chez lui travailler et eurent plein de cadeaux. Mais un jour malheureusement pour eux ils furent piégés par cet homme car c’était un ogre qui voulait les manger tout crus. Ils l’avaient deviné car il les avait agressés en disant :
« Je suis un ogre et je vais vous manger tout crus ! »
Un jour qu’il s’apprêtait à les manger, il les emmena dans une cabane et il ramena du bois pour les attacher et pour mettre le feu pour les griller. Les enfants crièrent de toute leur force mais aucun homme n’entendit leur voix.


Au moment où il allait allumer le feu une lumière éclatante apparut pour les sauver. C’était une fée qui avait entendu des cris. La fée les sauva et l’ogre méchant mourut de rage car ses nerfs avaient explosé.


La fée les ramena dans un parc et leur dit de creuser car il y avait trois surprises. Les enfants creusèrent et trouvèrent trois trésors. Ils remercièrent la fée et furent heureux toute leur vie.

Les deux jolies perles rouge et blanche, par Esther



Il était une fois deux sœurs qui habitaient avec leur père et leur mère dans un village. Leur père travaillait comme bûcheron et leur mère comme couturière. Les deux filles étaient jumelles, on pouvait juste les différencier par la couleur des cheveux car l’une était blonde et l’autre brune. Comme leur mère était couturière, elle leur créa un chaperon à chacune. La brune avait un chaperon de couleur rouge et la blonde avait un chaperon de couleur blanche. On les surnommait donc le Petit Chaperon Rouge et le Petit Chaperon Blanc. Le caractère du Chaperon Rouge était le même que celui du Petit Chaperon Blanc : belle, intelligente, toujours à l’écoute et surtout des grandes personnes. Mais la blonde était un peu capricieuse et la brune trop câline.


Un beau jour leur mère leur demanda d’aller chez leurs grands-parents à plusieurs heures de leur village. Leur mère leur dit :
« Faites très attention. Il est tard et il va faire froid. Dites bonjour aux passants et quand vous arriverez chez vos grands-parents, dites bonjour et ne vous plaignez pas. A tout à l’heure. »


Mais quand les deux filles arrivèrent au village, il n’y avait personne. Pas de boulanger, pas de boucher, pas de poissonnier. Personne ! Alors les deux filles continuèrent leur chemin. Après quelques minutes, elles croisèrent une personne : elle était en train de voler dans les airs : c’était une fée. Intriguées par cette personne, les deux filles s’approchèrent de la fée, elles lui dirent bonjour et la brune demanda :
« Excusez-vous, mais nous voulons savoir ce qui c’est passé : on ne voit personne. »
La fée baissa la tête et dit :
« Eh bien, je ne sais pas trop, je sais juste certaines choses comme vous : vous savez le prince Kangourou et son armée avaient des problèmes avec le village, non ?
- Oui, c’est ça ! dit le Chaperon Blanc.
- Eh bien, ce prince et son armée sont venus et ont tout dévasté. Ils n’ont laissé en vie que certaines personnes âgées, des bébés, des femmes parfois enceintes, quelques commerçants et trois ou quatre hommes.
- Mais c’est affreux ! dirent le Chaperon Rouge et le Chaperon Blanc.
- Dites-nous, madame, est-ce que nos grands-parents sont en vie ? dit le Chaperon Rouge.
- Je ne sais pas, comment s’appellent-ils ?
- Monsieur et madame Seguin.
- Attendez que je réfléchisse.
- Vous êtes voyante ?
- Oui, pour être voyante, et oui pour vos grands-parents.
- Hourra ! Hourra ! Savez-vous où ils sont ?
- Ils sont dans la maison des réfugiés.
- Merci madame ! dit le Chaperon Blanc.
- De rien, les enfants
- Bon, on vous laisse, on va aller les voir. Merci encore. »
Les deux filles partirent, mais la fée avait oublié de leur donner un cadeau pour qu’elles retrouvent leurs grands-parents.
« Attendez les filles, vous avez oublié quelque chose. »
Les deux filles se retournèrent et elles virent la fée qui essayait de les rattraper.
« Les filles, vous avez oublié quelque chose !
- Non, on n’a rien oublié, nous avons notre panier, notre anorak…
- Ah oui, j’ai oublié de vous dire que j’avais un cadeau pour vous.
- Un cadeau ?
- Oui, un cadeau !
- Quoi, comme cadeau ? demandèrent les deux Chaperons.
- Un pitagoriussa, dit la fée.
- C’est quoi, un pitagoriussa ?
- Un oiseau magique. Il vous servira car la maison où se sont réfugiés vos grands-parents est très loin, donc comme je sais que vous êtes petites je vous l’offre ! dit la fée.
- Merci encore madame, sans vous on ne serait rien. Merci ! Merci !
- De rien, au revoir les filles.
- Au revoir madame. »


Les deux filles repartirent. Elles montèrent sur le pitagoriussa qui s’envola. Quelques temps plus tard, elles rencontrèrent les fils du prince Kangourou. Le Chaperon Blanc dit à sa sœur de s’arrêter. Le Chaperon Rouge arrêta. Le Chaperon dit aux fils du prince Kangourou :
« Bonjour, vous êtes seuls ?
- Oui, notre père est parti dès qu’il a tout dévasté.
- Mais c’est affreux !
- Oui, même très affreux.
- Montez donc, nous allons à la maison des réfugiés.
- D’accord, comme ça nous pourrons dire que mon frère et moi-même sommes très désolés pour ce que notre père et son armée ont fait. »
Les deux enfants montèrent sur le pitagoriussa qui s’envola. Un des garçons demanda alors :
« Excusez-nous, mais nous voudrions savoir où nous pourrions habiter.
- Vous n’êtes que vous deux ?
- Oui.
- Et votre mère ? »
Les deux garçons baissèrent la tête et l’un d’eux dit :
« Elle est morte.
- C’est affreux. Attends, je vais en parler à ma sœur.
- D’accord. »
Le Chaperon Blanc se tourna vers sa sœur et dit :
« Dis-moi, Chaperon Rouge, les deux garçons sont tous seuls. Tu crois qu’ils peuvent habiter à la maison ?
- Bien sûr, après tout ce n’est pas eux qui ont tout dévasté !
- Je vais leur dire qu’ils peuvent habiter à la maison.
- D’accord. »
Le Chaperon Blanc se tourna vers les garçons et dit :
« Vous pouvez habiter chez nous.
- Vous êtes sûres ?
- Bien sûr !
- C’est d’accord. »
Quelques temps plus tard, ils arrivèrent à la maison des réfugiés et racontèrent toute l’histoire. Tout se passa bien. Après quelques heures, les quatre enfants rentrèrent à la maison.


Après de nombreuses années, les enfants avaient grandi et avaient changé. Le Chaperon Rouge se maria avec un des garçons qu’on surnommait Coco, et le Chaperon Blanc avec l’autre garçon qu’on surnommait Juju. Les parents des Chaperons qui étaient très pauvres devinrent très riches car comme les frères Juju et Coco étaient des princes et qu’ils s’étaient mariés avec les Chaperons Rouge et Blanc, ils étaient devenus très riches. Le Prince Kagourou et son armée se firent arrêter et tuer pour avoir tué beaucoup de personnes. Comme Juju et Coco étaient les fils du prince Kagourou et qu’il avait deux énormes châteaux, Juju eut le château marron et Coco le château jaune.

Le futur prince, par Jamal



Il était une fois un sultan qui était très gentil et écoutait son peuple et faisait tout pour que son peuple soit dans les meilleures conditions. Il avait une petite fille jeune et belle qui avaient dix-sept ans et son anniversaire était une semaine plus tard. Une légende disait que si la princesse ne se mariait pas avant dix-huit ans elle mourrait. Le sultan avait trouvé un prince qui voulait bien épouser la princesse mais celle-là ne voulait pas de lui.


Elle voulait se marier par amour et non pas parce que son père le lui demandait ! Mais le prince était tellement fol amoureux d’elle qu’il fit tout pour qu’elle soit amoureuse de lui. Un jour il décida d’invoquer un puissant sortilège qui la ferait tomber dans son pouvoir.


A ce moment là, la princesse était partie au parc et rencontra un homme très beau mais il était si pauvre qu’elle pensait que son père lui dirait de ne pas l’épouser. La princesse décida de convaincre son père de la marier avec le mendiant mais son père lui dit :
« Non il est très pauvre. »
La princesse réfléchit. Elle dit :
« Tu m’a demandé de trouver un époux, je m’en suis trouvée un, alors je dois l’épouser.
- Tu as raison, dit le sultan. Tu vas te marier avec cet homme mais à une seule condition : tu devras me le montrer et je verrai s’il est un homme d’honneur. »


Puis le pauvre mendiant vint au palais du sultan avec les gardes du roi. Le prince entendit la conversation et décida de tuer le sultan avec un couteau pour prendre le pouvoir du château car c’était un prince et il était riche. Le futur époux mendiant vit le prince s’approcher avec un couteau immense et prit une flèche qui était posé sur la table et l’envoya en plein cœur de l’agresseur du sultan.


Le sultan dit :
« Tu m’a sauvé la vie alors tu pourras épouser ma fille si tu le veux bien. »
Le futur marié dit :
« Oui, avec joie et amour. »
Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.

La princesse Beauté, par Leïla



Il était une fois une princesse qui habitait dans un très beau château. Les parents étaient très riches. Ils étaient très heureux d’avoir une si jolie fille. Elle était tellement belle qu’on la nomma la princesse Beauté. Les parents étaient gentils avec tout le monde. Tous les jeunes de la cité la trouvaient très belle et voulaient l’épouser, mais la princesse attendait le beau prince.


Un jour, un beau prince vint l’épouser. Elle était très heureuse et folle de joie que le beau prince vint l’épouser. Le prince fit connaissance des parents de la princesse Beauté. La princesse aussi fit connaissance de la mère du prince. Le père du prince était décédé, donc la mère du prince était une femme veuve. Il épousa la princesse car elle était trop belle cette magnifique princesse Beauté. Le prince aussi était très beau. Ils formaient un beau couple, mais le problème, c’est que la mère du prince était une sorcière et était très jalouse de la princesse Beauté, mais elle était fière d’avoir un si joli fils.


Un jour, elle attaqua la princesse Beauté dans le jardin, mais la princesse avait peur donc elle courut de toutes ses forces dans le jardin pour que la sorcière ne l’attrape pas et en même temps elle cria :
« Au secours, à l’aide, à l’aide ! »
La princesse courut tellement vite qu’elle échappa à la sorcière. La sorcière était très jalouse : elle ne voulait pas que son fils soit amoureux d’une princesse Beauté très belle.




La princesse fit appel à une marraine pour lui venir en aide. Cette marraine s’était occupée de plusieurs personnes. Cette marraine avait une longue baguette blanche qui était magique, une très longue robe blanche, avec de longs cheveux gris. La princesse lui expliqua ce qu’il y avait, mais la princesse avait très peur, elle ne savait pas comment s’y prendre. Elle lui dit que la mère de son mari la détestait et que c’était une sorcière très méchante et qu’elle était très laide, mais d’une mocheté telle qu’elle ne ressemblait à rien. Tout le monde la détestait, car elle n’aimait personne, sauf son propre fils.
La marraine fit un tour de magie avec sa baguette magique et s’en alla en lui disant :
« Vas voir la mère de ton mari. Vite, dépêche-toi. »
La princesse alla voir la mère de son mari en courant.


Plus tard dans la journée, la princesse alla voir la mère de son mari : elle était devenue toute gentille et toute belle, donc elle était devenue normale. La mère de son mari lui sauta au cou et embrassa la princesse Beauté. La princesse était effrayée par l’attitude de la mère de son mari, mais d’un autre côté, la princesse était très contente. Puis le jour du mariage de la princesse et du prince arriva. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants et ils vécurent heureux tous ensemble.

Le bal et la princesse, par Shannon



Il était une fois une princesse qui habitait dans une maison loin de la forêt. Elle vivait avec une fée. La princesse était gentille, tellement gentille que tout le monde l’aimait. Elle vivait dans une maison avec une fée car ses parents ne voulaient pas la garder car elle voulait se marier mais elle voulait une fée pour l’aider. Elle ne voulait pas que ses parents l’aident. La fée était celle qui vivait avec la princesse pour l’aider à trouver un prince charmant. La princesse tous les jours allait chercher des fleurs dans les bois pour rencontrer un prince charmant.


La princesse rencontra une petite biche, elle comprenait tous les animaux. La princesse demanda à la biche si elle avait vu un prince charmant. La biche lui répondit qu’elle n’avait pas vu de prince charmant, surtout elle lui dit que ce soir il y avait un bal. La princesse chercha quelqu'un pour l’amener au bal et pour lui donner une robe.


La princesse appela sa marraine la fée pour lui demander une robe à porter et aussi de l’accompagner au bal. La marraine lui dit :
« Ce soir il y aura un prince charmant qui te demandera si tu veux danser avec lui. Mais avant minuit il faudra partir car ton carrosse et ta robe disparaîtront. »
La princesse se mit sa robe et partie au bal en carrosse. Sa robe était blanche et magique. Le bal se trouvait dans une salle loin de la forêt.




La princesse arriva au bal et se mit à danser. Le prince charmant demanda à la princesse si elle voulait bien danser avec lui, la princesse accepta. Avant minuit la princesse partit en courant car son carrosse disparaîtrait bientôt. Il manquait dix minutes pour disparaître.


Elle arriva chez elle, mais elle trouva le prince devant sa porte : il l’avait suivie pour lui donner une bague de fiançailles. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.