12 mars 2010

Le vaillant chevalier, par Aïmen



Il était une fois un puissant chevalier qui s’appelait Artefact. Il vivait dans un immense château tout seul parce qu’il avait perdu toute sa famille dans un incendie. Il passait souvent son temps à s’entraîner à l’épée pour oublier la perte de ses proches.


Un jour il alla se balader. En chemin il rencontra une femme. Elle lui dit :
« Mon cheval s’est enfui s’il vous plait ramenez moi chez moi. »
Il l’emmena avec lui. Le chevalier ne savait pas que cette femme était une sorcière, très puissante, maléfique. Elle l’emmena chez son mari le sorcier !


Peu de temps après ils arrivèrent chez son mari le sorcier. Son mari lui lança un sort d’amnésie. Il prononça le mot « oubliette », il emmena Artefact dans les immondes cachots. Quand il reprit conscience il se dit :
« Mais où suis-je ? »
Il était aveuglé par une petite lumière, il leva les yeux et il vit un petit trou. Il rongea les chaînes rouillées qui le retenaient, il se détacha et escalada, agrandit le trou et il passa. Il attrapa son cheval et s’enfuit dans le plus profond de la forêt.




En chemin il rencontra une fée qui lui dit :
« Il y a une princesse retenue prisonnière. Vas la chercher et marie toi avec elle, elle sera heureuse de voir un homme dans ton genre. »
Artefact lui dit :
« Je le ferai, soyez sans crainte. »
Elle répondit :
« Tu sauras l’aider grâce à mon fidèle ami mon phénix. »


Il la trouva dans un tas d’or, il l’embrassa et elle se réveilla. Ils partirent debout sur les ailes du phénix, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants et vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours.


Le dragon chevalier, par Anthony


Il était une fois un dragon chevalier rouge comme le sang en armure qui aimait galoper dans la forêt car il n’avait pas d’ailes. Chaque fois qu’il avait envie de galoper, c’était un moment de bonheur pour lui. Il adorait ramasser des champignons oranges qui lui donnaient du feu. Cela lui était une passion.


Un jour le roi offrit un milliard de carats à qui tuerait les deux chauves-souris géantes et traverserait la colline de fleurs vivantes toxiques, pour délivrer le royaume.
« La colline de fleurs toxiques est le chemin le plus rapides, mais vous devez partir du château. » dit le roi.


Il partit du château sombre juché sur une falaise grise. Un soir de pleine lune il s’y aventura par curiosité pour y passer la nuit. Une fois dedans, il fut capturé par les deux chauves-souris géantes et il fut mis au cachot poussiéreux et grouillant d’araignées vénéneuses que seul un dragon pouvait manger. Il les mangea et put sortir, pour traverser la colline de fleurs toxiques.

Une fois sorti par la sortie souterraine secrète et invisible, cachée par les araignées, il chevaucha son cheval sur une colline verte foncée avec des fleurs toxiques vivantes qui s’enroulent le long des jambes et il tomba dans le gouffre avec son cheval blanc comme des flocons neiges.

Les chauves-souris vinrent l’attaquer lui et son cheval. Le dragon les tua avec le feu qu’il avait fait avec son ventre. Elles grillèrent et tombèrent au sol. Il les enterra dans une tombe à leur effigie. Les chauves-souris reposèrent en paix dans le gouffre de la vallée de fleurs toxiques. Il était content de les avoir battues.


Après il alla voir le roi et lui dit qu’il avait fait tout ce que le monarque avait demandé et qu’il méritait d’avoir la récompense. D’abord il raconta comment avec son feu il avait battu les chauves-souris géantes puis les araignées, les fleurs toxiques. Enfin le monarque lui donna sa récompense.

La princesse et son prince, par Béthanie



Il était une fois une petite princesse qui, après avoir perdu sa mère, vivait avec son père qui lui était un roi. Mais son pauvre père était tout seul et il s’ennuyait alors il rencontra une belle femme et ses filles et ils se marièrent mais ce qu’il ne savait pas, c’est que ce n’était pas une reine. Elle épousa le roi pour que ses filles deviennent des princesses, pour qu’elle soit elle-même une reine. Mais ce qu’il ne savait pas non plus, c’est que cette belle mère était méchante avec sa fille. Celle-ci était devenue grande et devait normalement être une belle princesse. Mais à cause de la méchante belle-mère elle ne devint pas princesse, mais eut quand même une beauté éclatante, et sa belle-mère s’énerva car elle était plus belle que ses deux fillettes. Elle devint une esclave qui exécutait les ordres que lui donnait sa belle mère. C'est-à-dire elle devint une souillon.


Mais un beau jour ensoleillé on entendit un bruit :
« Toc ! Toc ! Toc ! (C’était le bruit de la porte.)
- Oui, qui est là ?
- C’est le serviteur du roi Dada. Il vous envoie une invitation pour le premier bal de sa fille, ça sera dans son château.
- Bien merci c’est gentil, je serai là-bas à l’aube.
- Bien à plus tard alors. »


Dés l’aube la reine se prépara pour le bal. Mais la reine n’allait pas y aller toute seule : elle fit le plus grand bonheur de sa vie, inviter ses deux filles à leur premier bal. C’est la petite souillon qui devait préparer les deux méchantes sœurettes, qui la traitait comme une esclave.
Une fois les trois filles parties, ce fut au tour de son père de partir pour une réunion.


Elle se retrouva donc toute seule. La souillon devait faire le ménage même si c’était propre alors elle abandonna ; elle alla se promener, et rencontra une petite biche. Elle la caressa.


Malgré ça elle s’ennuyait toujours alors elle appela sa marraine la fée. Elle lui dit :
« S’il te plait, je veux aller au bal mais je ne veux pas qu’on me reconnaisse.
- Ne t’inquiète pas, je vais arranger ça. Bric, bac, divritou et boum ba da boum. »
Et voila que la souillon se transforma en sublime princesse. Elle était heureuse, elle la remercia plus de cent fois et elle partît au bal avec un sublime carrosse.
« Eh, ma petite princesse, j’allais oublier de te dire quelque chose. Quand tu entendras les douze coup de minuit il faudra que tu reviennes de suite à la maison on sinon tu vas redevenir une souillon, tu a bien compris.
- Oui ne t’inquiète pas j’ai compris. »
Et la souillon qui s’était transformée en magnifique princesse partit avec son carrosse.
« Tic ! Tac ! Tic ! Tac ! » fit le bruit du carrosse.


Elle alla au bal avec son sourire le plus beau. Au premier pas qu’elle fît, tout le monde la regarda. Elle n’eut même pas le temps se s’assoir qu’un prince vînt lui demander la danse.


Elle dansa toute la soirée. Elle se régala. Tout le monde la regardait car sa robe faisait plus de deux mètres de long. Les douze coup de minuit sonnèrent et le bal fut terminé. La princesse redevint une souillon et paniqua quand elle vît ses habits mais le prince ne dit rien : pour lui ça lui était égal. Ils s’asssirent sur un banc et discutèrent de tout et de rien et les jours passèrent. La vie passa, ils vécurent ensemble et eurent deux beaux petits jumeaux. Ils s’aimèrent jusqu’à ce que la mort les sépare.

Les trois merveilleux enfants, par Brahim



Il était une fois trois enfants de dix ans qui étaient de merveilleux amis : le Fort, le Technicien et le Nerveux qui avait le pouvoir de se transformer en ogre nerveux. Ils voulaient camper pour la première fois ensemble en dehors de leur ville pour vivre un mois ensemble.

Deux semaines après qu’ils aient cherché un endroit, la nuit ils virent un très grand homme. Il leur dit :
« Venez mes enfants travailler pour moi et vous aurez beaucoup de cadeaux. »


Ils allèrent chez lui travailler et eurent plein de cadeaux. Mais un jour malheureusement pour eux ils furent piégés par cet homme car c’était un ogre qui voulait les manger tout crus. Ils l’avaient deviné car il les avait agressés en disant :
« Je suis un ogre et je vais vous manger tout crus ! »
Un jour qu’il s’apprêtait à les manger, il les emmena dans une cabane et il ramena du bois pour les attacher et pour mettre le feu pour les griller. Les enfants crièrent de toute leur force mais aucun homme n’entendit leur voix.


Au moment où il allait allumer le feu une lumière éclatante apparut pour les sauver. C’était une fée qui avait entendu des cris. La fée les sauva et l’ogre méchant mourut de rage car ses nerfs avaient explosé.


La fée les ramena dans un parc et leur dit de creuser car il y avait trois surprises. Les enfants creusèrent et trouvèrent trois trésors. Ils remercièrent la fée et furent heureux toute leur vie.

Les deux jolies perles rouge et blanche, par Esther



Il était une fois deux sœurs qui habitaient avec leur père et leur mère dans un village. Leur père travaillait comme bûcheron et leur mère comme couturière. Les deux filles étaient jumelles, on pouvait juste les différencier par la couleur des cheveux car l’une était blonde et l’autre brune. Comme leur mère était couturière, elle leur créa un chaperon à chacune. La brune avait un chaperon de couleur rouge et la blonde avait un chaperon de couleur blanche. On les surnommait donc le Petit Chaperon Rouge et le Petit Chaperon Blanc. Le caractère du Chaperon Rouge était le même que celui du Petit Chaperon Blanc : belle, intelligente, toujours à l’écoute et surtout des grandes personnes. Mais la blonde était un peu capricieuse et la brune trop câline.


Un beau jour leur mère leur demanda d’aller chez leurs grands-parents à plusieurs heures de leur village. Leur mère leur dit :
« Faites très attention. Il est tard et il va faire froid. Dites bonjour aux passants et quand vous arriverez chez vos grands-parents, dites bonjour et ne vous plaignez pas. A tout à l’heure. »


Mais quand les deux filles arrivèrent au village, il n’y avait personne. Pas de boulanger, pas de boucher, pas de poissonnier. Personne ! Alors les deux filles continuèrent leur chemin. Après quelques minutes, elles croisèrent une personne : elle était en train de voler dans les airs : c’était une fée. Intriguées par cette personne, les deux filles s’approchèrent de la fée, elles lui dirent bonjour et la brune demanda :
« Excusez-vous, mais nous voulons savoir ce qui c’est passé : on ne voit personne. »
La fée baissa la tête et dit :
« Eh bien, je ne sais pas trop, je sais juste certaines choses comme vous : vous savez le prince Kangourou et son armée avaient des problèmes avec le village, non ?
- Oui, c’est ça ! dit le Chaperon Blanc.
- Eh bien, ce prince et son armée sont venus et ont tout dévasté. Ils n’ont laissé en vie que certaines personnes âgées, des bébés, des femmes parfois enceintes, quelques commerçants et trois ou quatre hommes.
- Mais c’est affreux ! dirent le Chaperon Rouge et le Chaperon Blanc.
- Dites-nous, madame, est-ce que nos grands-parents sont en vie ? dit le Chaperon Rouge.
- Je ne sais pas, comment s’appellent-ils ?
- Monsieur et madame Seguin.
- Attendez que je réfléchisse.
- Vous êtes voyante ?
- Oui, pour être voyante, et oui pour vos grands-parents.
- Hourra ! Hourra ! Savez-vous où ils sont ?
- Ils sont dans la maison des réfugiés.
- Merci madame ! dit le Chaperon Blanc.
- De rien, les enfants
- Bon, on vous laisse, on va aller les voir. Merci encore. »
Les deux filles partirent, mais la fée avait oublié de leur donner un cadeau pour qu’elles retrouvent leurs grands-parents.
« Attendez les filles, vous avez oublié quelque chose. »
Les deux filles se retournèrent et elles virent la fée qui essayait de les rattraper.
« Les filles, vous avez oublié quelque chose !
- Non, on n’a rien oublié, nous avons notre panier, notre anorak…
- Ah oui, j’ai oublié de vous dire que j’avais un cadeau pour vous.
- Un cadeau ?
- Oui, un cadeau !
- Quoi, comme cadeau ? demandèrent les deux Chaperons.
- Un pitagoriussa, dit la fée.
- C’est quoi, un pitagoriussa ?
- Un oiseau magique. Il vous servira car la maison où se sont réfugiés vos grands-parents est très loin, donc comme je sais que vous êtes petites je vous l’offre ! dit la fée.
- Merci encore madame, sans vous on ne serait rien. Merci ! Merci !
- De rien, au revoir les filles.
- Au revoir madame. »


Les deux filles repartirent. Elles montèrent sur le pitagoriussa qui s’envola. Quelques temps plus tard, elles rencontrèrent les fils du prince Kangourou. Le Chaperon Blanc dit à sa sœur de s’arrêter. Le Chaperon Rouge arrêta. Le Chaperon dit aux fils du prince Kangourou :
« Bonjour, vous êtes seuls ?
- Oui, notre père est parti dès qu’il a tout dévasté.
- Mais c’est affreux !
- Oui, même très affreux.
- Montez donc, nous allons à la maison des réfugiés.
- D’accord, comme ça nous pourrons dire que mon frère et moi-même sommes très désolés pour ce que notre père et son armée ont fait. »
Les deux enfants montèrent sur le pitagoriussa qui s’envola. Un des garçons demanda alors :
« Excusez-nous, mais nous voudrions savoir où nous pourrions habiter.
- Vous n’êtes que vous deux ?
- Oui.
- Et votre mère ? »
Les deux garçons baissèrent la tête et l’un d’eux dit :
« Elle est morte.
- C’est affreux. Attends, je vais en parler à ma sœur.
- D’accord. »
Le Chaperon Blanc se tourna vers sa sœur et dit :
« Dis-moi, Chaperon Rouge, les deux garçons sont tous seuls. Tu crois qu’ils peuvent habiter à la maison ?
- Bien sûr, après tout ce n’est pas eux qui ont tout dévasté !
- Je vais leur dire qu’ils peuvent habiter à la maison.
- D’accord. »
Le Chaperon Blanc se tourna vers les garçons et dit :
« Vous pouvez habiter chez nous.
- Vous êtes sûres ?
- Bien sûr !
- C’est d’accord. »
Quelques temps plus tard, ils arrivèrent à la maison des réfugiés et racontèrent toute l’histoire. Tout se passa bien. Après quelques heures, les quatre enfants rentrèrent à la maison.


Après de nombreuses années, les enfants avaient grandi et avaient changé. Le Chaperon Rouge se maria avec un des garçons qu’on surnommait Coco, et le Chaperon Blanc avec l’autre garçon qu’on surnommait Juju. Les parents des Chaperons qui étaient très pauvres devinrent très riches car comme les frères Juju et Coco étaient des princes et qu’ils s’étaient mariés avec les Chaperons Rouge et Blanc, ils étaient devenus très riches. Le Prince Kagourou et son armée se firent arrêter et tuer pour avoir tué beaucoup de personnes. Comme Juju et Coco étaient les fils du prince Kagourou et qu’il avait deux énormes châteaux, Juju eut le château marron et Coco le château jaune.

Le futur prince, par Jamal



Il était une fois un sultan qui était très gentil et écoutait son peuple et faisait tout pour que son peuple soit dans les meilleures conditions. Il avait une petite fille jeune et belle qui avaient dix-sept ans et son anniversaire était une semaine plus tard. Une légende disait que si la princesse ne se mariait pas avant dix-huit ans elle mourrait. Le sultan avait trouvé un prince qui voulait bien épouser la princesse mais celle-là ne voulait pas de lui.


Elle voulait se marier par amour et non pas parce que son père le lui demandait ! Mais le prince était tellement fol amoureux d’elle qu’il fit tout pour qu’elle soit amoureuse de lui. Un jour il décida d’invoquer un puissant sortilège qui la ferait tomber dans son pouvoir.


A ce moment là, la princesse était partie au parc et rencontra un homme très beau mais il était si pauvre qu’elle pensait que son père lui dirait de ne pas l’épouser. La princesse décida de convaincre son père de la marier avec le mendiant mais son père lui dit :
« Non il est très pauvre. »
La princesse réfléchit. Elle dit :
« Tu m’a demandé de trouver un époux, je m’en suis trouvée un, alors je dois l’épouser.
- Tu as raison, dit le sultan. Tu vas te marier avec cet homme mais à une seule condition : tu devras me le montrer et je verrai s’il est un homme d’honneur. »


Puis le pauvre mendiant vint au palais du sultan avec les gardes du roi. Le prince entendit la conversation et décida de tuer le sultan avec un couteau pour prendre le pouvoir du château car c’était un prince et il était riche. Le futur époux mendiant vit le prince s’approcher avec un couteau immense et prit une flèche qui était posé sur la table et l’envoya en plein cœur de l’agresseur du sultan.


Le sultan dit :
« Tu m’a sauvé la vie alors tu pourras épouser ma fille si tu le veux bien. »
Le futur marié dit :
« Oui, avec joie et amour. »
Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.

La princesse Beauté, par Leïla



Il était une fois une princesse qui habitait dans un très beau château. Les parents étaient très riches. Ils étaient très heureux d’avoir une si jolie fille. Elle était tellement belle qu’on la nomma la princesse Beauté. Les parents étaient gentils avec tout le monde. Tous les jeunes de la cité la trouvaient très belle et voulaient l’épouser, mais la princesse attendait le beau prince.


Un jour, un beau prince vint l’épouser. Elle était très heureuse et folle de joie que le beau prince vint l’épouser. Le prince fit connaissance des parents de la princesse Beauté. La princesse aussi fit connaissance de la mère du prince. Le père du prince était décédé, donc la mère du prince était une femme veuve. Il épousa la princesse car elle était trop belle cette magnifique princesse Beauté. Le prince aussi était très beau. Ils formaient un beau couple, mais le problème, c’est que la mère du prince était une sorcière et était très jalouse de la princesse Beauté, mais elle était fière d’avoir un si joli fils.


Un jour, elle attaqua la princesse Beauté dans le jardin, mais la princesse avait peur donc elle courut de toutes ses forces dans le jardin pour que la sorcière ne l’attrape pas et en même temps elle cria :
« Au secours, à l’aide, à l’aide ! »
La princesse courut tellement vite qu’elle échappa à la sorcière. La sorcière était très jalouse : elle ne voulait pas que son fils soit amoureux d’une princesse Beauté très belle.




La princesse fit appel à une marraine pour lui venir en aide. Cette marraine s’était occupée de plusieurs personnes. Cette marraine avait une longue baguette blanche qui était magique, une très longue robe blanche, avec de longs cheveux gris. La princesse lui expliqua ce qu’il y avait, mais la princesse avait très peur, elle ne savait pas comment s’y prendre. Elle lui dit que la mère de son mari la détestait et que c’était une sorcière très méchante et qu’elle était très laide, mais d’une mocheté telle qu’elle ne ressemblait à rien. Tout le monde la détestait, car elle n’aimait personne, sauf son propre fils.
La marraine fit un tour de magie avec sa baguette magique et s’en alla en lui disant :
« Vas voir la mère de ton mari. Vite, dépêche-toi. »
La princesse alla voir la mère de son mari en courant.


Plus tard dans la journée, la princesse alla voir la mère de son mari : elle était devenue toute gentille et toute belle, donc elle était devenue normale. La mère de son mari lui sauta au cou et embrassa la princesse Beauté. La princesse était effrayée par l’attitude de la mère de son mari, mais d’un autre côté, la princesse était très contente. Puis le jour du mariage de la princesse et du prince arriva. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants et ils vécurent heureux tous ensemble.

Le bal et la princesse, par Shannon



Il était une fois une princesse qui habitait dans une maison loin de la forêt. Elle vivait avec une fée. La princesse était gentille, tellement gentille que tout le monde l’aimait. Elle vivait dans une maison avec une fée car ses parents ne voulaient pas la garder car elle voulait se marier mais elle voulait une fée pour l’aider. Elle ne voulait pas que ses parents l’aident. La fée était celle qui vivait avec la princesse pour l’aider à trouver un prince charmant. La princesse tous les jours allait chercher des fleurs dans les bois pour rencontrer un prince charmant.


La princesse rencontra une petite biche, elle comprenait tous les animaux. La princesse demanda à la biche si elle avait vu un prince charmant. La biche lui répondit qu’elle n’avait pas vu de prince charmant, surtout elle lui dit que ce soir il y avait un bal. La princesse chercha quelqu'un pour l’amener au bal et pour lui donner une robe.


La princesse appela sa marraine la fée pour lui demander une robe à porter et aussi de l’accompagner au bal. La marraine lui dit :
« Ce soir il y aura un prince charmant qui te demandera si tu veux danser avec lui. Mais avant minuit il faudra partir car ton carrosse et ta robe disparaîtront. »
La princesse se mit sa robe et partie au bal en carrosse. Sa robe était blanche et magique. Le bal se trouvait dans une salle loin de la forêt.




La princesse arriva au bal et se mit à danser. Le prince charmant demanda à la princesse si elle voulait bien danser avec lui, la princesse accepta. Avant minuit la princesse partit en courant car son carrosse disparaîtrait bientôt. Il manquait dix minutes pour disparaître.


Elle arriva chez elle, mais elle trouva le prince devant sa porte : il l’avait suivie pour lui donner une bague de fiançailles. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.

Le chevalier flamboyant, par Sofiane



Il était une fois un jeune chevalier courageux qui vivait dans un château. Tout le monde l’admirait. Il était le plus connu des soldats du roi. Celui qui régnait dans le château était un roi.

Le jeune chevalier avait un rêve, celui d’aller dans le territoire des dragons. Chaque jour il s’entraînait à tirer des flèches sur l’arbre. Il était prêt à risquer sa vie pour aller dans le territoire des dragons.


Un jour, il s’entraîna et était tellement fatigué qu’il fit une pause. Un oiseau maléfique tenta de l’emmener dans le territoire des dragons où un dragon reposait avec son garde.

Le chevalier tenta de se délivrer des pattes de l’oiseau mais il lui fit un coup de pattes et déchira son armure. Le héros tomba dans l’eau. Tout trempé, il se releva et alla au château du roi.

Ensuite, le chevalier arriva au château du roi et il lui expliqua ce qui lui était arrivé. Mais le roi ne crut pas que le territoire des dragons existait et le chevalier lui dit :
« J’irai chercher la tête du dragon, pour preuve. »

En chemin, il rencontra un petit dragon aux ailes flamboyantes qui tenta de l’éliminer. Mais le chevalier lui lança une flèche en plein vol. L’oiseau fut touché mais réussit à s’enfuir pour se réfugier au château du magicien maléfique. Le lendemain matin, le chevalier alla au château du roi et lui expliqua ce qui lui était arrivé. Le roi lui raconta que le magicien maléfique était un terrible sorcier craint par tous les habitants.

Le magicien lui donna une carte qui mène au territoire des dragons. Ce territoire était bien réel, il fallait traverser la montagne de lave pour y arriver.

Le chevalier alla dans le territoire des dragons. Sur le chemin, il rencontra à nouveau un oiseau maléfique envoyé par le magicien.
Le volatile donna un coup de grilles tranchantes et blessa le chevalier. L’oiseau fonça sur le chevalier à toute allure. Le chevalier prit son épée pour se défendre. Il la lui planta en plein vol malgré les blessures du dragon et lui dit :
« Tu as mené un superbe combat, le roi dragon se trouve au fin fond du territoire des dragons, mais le roi a un garde, le plus fort de tous, alors fais-y attention. »
Alors le chevaler se mit en route.


Arrivé au territoire des dragons, il rencontra le garde en question. Le chevalier lui demanda où il pourrait trouver le roi dragon. Le garde dit :
« Je ne vous le dirai qu’à une condition : si vous me battez en combat. »
Le chevalier accepta et s’exclama :
« En garde ! »
Un combat spectaculaire eut lieu mais le garde lui donna un coup de sabre mais le chevalier l’esquiva et lui planta l’épée dans le cœur. Le garde lui révéla le chemin qui mène dans le château du dragon. Le chevalier y alla. Le chevalier demanda au dragon s’il aurait bien aimé l’accompagner au château du roi pour lui prouver que le territoire des dragons existait bien. Le dragon dit :
« Oui, je t’accompagnerai à une condition : de jurer que personne ne revienne dans mon territoire. »


Le chevalier et le dragon arrivèrent au château du roi et le roi terrifié dit :
« Je n’aurais jamais pu croire que le territoire des dragons existait. Pour ça, je te récompenserai de m’avoir fait connaître le roi dragon. »

Tout le monde fut joyeux et personne ne partit plus au territoire des dragons.

Les jumelles s’en mêlent ! par Souhaila



Il était une fois deux sœurs jumelles qu’on surnommait Brunette et Blondinette, car l’une était brune et l’autre était blonde. Brunette était brune et aimait le rouge et Blondinette était blonde et aimait le blanc. Leur père était mort lors de la guerre et leur mère s’occupait des deux filles seule. Elles vivaient dans une grande maison mais elles n’étaient pas riches. Cette maison appartenait à leur grand-mère qui était partie vivre dans un autre pays. Les deux filles faisaient tout ensemble : elles partaient à la forêt, avaient les mêmes robes, etc.Mais malgré la mort de leur père les deux filles étaient heureuses avec leur mère comme parent.

Comme tous les jours après manger, elles voulurent partir à la forêt, pour aller ramasser du bois, aller chercher de l’eau, des fleurs etc. Mais leur mère avait besoin des filles pour préparer le repas du soir. Donc elles durent partir à la forêt beaucoup plus tard. Quand la nuit tomba leur mère dit à ses filles d’aller ramasser du bois et de l’eau dans la forêt. Elles purent partir dans la forêt.


Après avoir ramassé plusieurs fleurs, du bois et de l’eau elles aperçurent un petit chat, mais ce petit chat n’était pas comme les autres car ce chat pouvait parler. Alors le chat commença à dire aux deux jumelles :
« Non ! Non ! Non ! Ne parcourez pas la forêt ni aujourd’hui ni une autre fois. Ne revenez plus jamais dans cette forêt. »
Puis le petit chat partit en courant.

Les deux jumelles ne prenant pas la menace du chat au sérieux, le chat revint et leur dit :
« Ecoutez moi ! Prenez ça au sérieux ! Je ne plaisante pas. Tout au fond de la forêt il y a une sorcière qui depuis des générations vole deux filles qui sont sœurs et si elle ne trouve pas deux soeurs quand la deuxième lune du mois est pleine elle disparaît. Alors croyez moi. »
Mais les deux filles continuèrent leur chemin.

Ensuite plus loin elles rencontrèrent une petite fille qui pleurait et elles allèrent vers elle puis la petite fille se transforma.
« Oh Non ! C’est la sorcière ! »


La sorcière prit une géante cage, et captura les deux filles pour les manger. Une fois arrivées chez la sorcière les deux filles étaient désespérées, mais toujours dans la cage. La sorcière partit dans la forêt pour ramasser du bois. Mais elle laissa la porte ouverte, et un chaton entra dans la maison de la sorcière. Les filles appelèrent le chaton, et le chaton avança vers elles. Il coupa la corde qui renfermait les deux filles. Les deux filles sortirent et partirent de la cage. Elles coururent tellement vite que la sorcière ne savait plus comment les rattraper.


Les deux sœurs ne savaient plus quel était le bon chemin. Un moment après elles virent une étoile briller tellement fort que si on la regardait trop longtemps les yeux pleuraient. Cette étoile se rapprochait de plus en plus jusqu'à ce qu’elle arriva devant les deux filles. Quand elle arriva devant les deux filles, l’étoile s’ouvrit en deux et à l’intérieur de l’étoile il y avait une fée.
Cette fée dit au deux petites :
« Ecoutez moi si vous voulez vaincre la sorcière, il vous faut la clé de monacre. Elle se trouve tout au bout la forêt. Prenez garde : celui qui la détient est très malin. Enfin de journée, il dormira. En même temps prenez l’un de ses nombreux tapis magiques. Vous me trouverez à cet endroit. Prenez bien garde et bonne chance. »


Après avoir traversé la forêt les deux jumelles arrivèrent au château où était enfermée la clé de monacre. Elles se faufilèrent au château et prirent la clé de monacre et un tapis volant. Elles sortirent dehors et repartirent chez la fée avec le tapis du propriétaire du château.


Toujours en tapis volant les deux jumelles arrivèrent chez la fée. Puis la fée enferma la sorcière dans un autre monde où étaient enfermés tout les personnages méchants. Une fois tout cela fini, les deux jumelles rentrèrent chez elles et racontèrent tout cela à leur mère, autour d’un bon repas. Le lendemain les deux jumelles se rendirent conte que tout ce qu’elles ont vécu n’était qu’un rêve. Puis les deux sœurs vécurent heureuses avec leur mère.